Nos corps étrangers
Carine Joaquin
Ed la manufacture de livres
Une grande maison, un jardin, un atelier de peintre pour madame, loin du tumulte parisien...
Mais est-ce vraiment la maison du bonheur ? Du bonheur retrouvé, on l’espère, mais dès le départ, le ton est donné : Stéphane a trompé Elisabeth, et l’amour semble bien avoir fui ... Et Maeva ? Maeva se cherche, Maeva se rebelle, Maeva transgresse, Maeva oscille entre un père plutôt sectaire et une maman compréhensive et bienveillante mais qui n’a pas elle-même résolu ses problèmes et qui a d'autres préoccupations.
Déséquilibre familial, malaise croissant qui pousse le lecteur à aller plus loin pour savoir... pour connaître le dénouement surprenant de ce récit, une fin qui m’a surprise et qui m’a laissée bien pensive.
Si le sujet dominant semble être le couple et la famille,
on y évoquera le problème des migrants, des sans-papiers, le racisme et l’intolérance.
Un ensemble bien écrit et très fluide.
Un roman qui m'a happée !
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