Pages

lundi 26 novembre 2012

Une place à prendre




   Je m’étais engagée à lire ce roman et en refermant le livre après en avoir terminé la lecture, ma première pensée a été : ça, c’est fait ! Que de soupirs avant d’en arriver à bout ! La deuxième pensée qui m’est venue à l’esprit  était une question : « Qu’est- ce que j’aime trouver dans un roman ? réponse :  le suspens,  l’humour,  l’émotion,  mais encore me sentir pleine de compassion à l’égard des personnages, avoir envie de savoir ce que chacun va devenir, sentir venir la fin de l’histoire…
Tout ce qu’il n’y a pas dans le livre de JK Rolling !  Une des raisons pour lesquelles Je m’étais  portée volontaire pour le lire  était la  quatrième de couverture : tragédie teintée d’humour noir, or je pense qu’il vaut mieux retirer le mot humour pour laisser le mot noir, car ce roman, je l’ai trouvé insipide et noir sur la fin.
Les personnages  sont pathétiques, les uns stupides, les autres rapaces, pervers, méchants. Je n’ai ressenti de compassion que pour Terri et  sa famille qui avaient des circonstances atténuantes. On a vraiment l’impression de séjourner dans un panier de crabes ! Bonjour l’ambiance !

Cette fois JK Rolling ne m’a pas captivée comme elle l’avait fait pour Harry Potter !

Je remercie néanmoins Priceminister  pour ce partenariat.


note 7/20













mardi 6 novembre 2012

Syndrome E




Syndrome E ? un puzzle constitué de pièces qui ne semblent pas s’emboîter : Un collectionneur  dans le nord de la France qui achète un film, une femme policier lilloise qui s’intéresse à ce film qui perturbe au plus haut point son ami collectionneur, la découverte de cadavres  trépanés et énucléés dans un endroit désert en Normandie, d’autres en Egypte, un mystérieux interlocuteur au Canada… quelques meurtres  supplémentaires  qui alimenteront  l’enquête  de Franck sharko, résidant à Paris, policier schizophrène, le type même de  l’anti héros, capable  de déductions qu’il  doit à son expérience, aidé par des scientifiques, des agents spécialisés dans les dernière techniques d’investigation, des spécialistes du cinéma. Bref, je ne me suis pas ennuyée du tout en écoutant ce roman audio.  Pas de scènes  trop gores (juste ce qu’il faut pour qu’un thriller ait droit à ce qualificatif), du suspens comme très souvent lié à une alternance des personnages, des chapitres coupés là où il faut pour tenir le lecteur en haleine. Un très bon thriller !

jeudi 1 novembre 2012

Le Doudou méchant


Claude ponti


Cette histoire est une merveille ! reprenant la trame du conte : un héros nommé Oups, une situation initiale :il vit heureux chez ses parents dans un monde fantastique , une rupture : il trouve un doudou tout triste dans le grenier  et lui rend la vie en le remplissant de plume et  devient son ami, mais les amis ne sont pas toujours ceux que l’on croit être fidèles : le doudou amène Oups à faire de grosses bêtises, il sème alors partout la zizanie, le désordre, le chaos,  qui amène à la résolution du problème : il subit des épreuves afin d’être reconnu à nouveau par tous ceux à qui il a fait du mal. Un conte à la manière Ponti, avec ses personnages originaux,  (des bouchanourrir, des blayettes…) ses éléments de décor grandioses que l’on reste à regarder pour le plaisir des yeux et du dessin), ses clins d’œil à d’autres histoires par la présence dans les illustrations de personnages issus  d’autres livres (je vous laisse observer par vous-même).
J’invite les lecteurs passés, présents ou futurs à m’adresser des messages au sujet du doudou et de sa situation à la fin de l’histoire qui me rappelle un conte et m’a posé question. Comme je ne veux pas dévoiler la fin, je précise que Oups découvre quelque chose à son sujet et que tout rentre dans l’ordre. Cette découverte s’est vue dans d’autres contes, dont un particulièrement connu, et je me demande si dans les contes plus anciens on retrouve ce dénouement.