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jeudi 19 avril 2012

Apolline et le chat masqué

Chris Riddell

Je me promène dans ma librairie préférée, je fouine dans les livres (ça peut durer des heures) jusqu’à ce que je dégote « le livre qui me tend les bras » Je crois que ça y est : un joli livre faisant partie d’une série de trois. Sa couverture m’hypnotise littéralement, je le caresse, et depuis que je l’ai en ma possession, je ne cesse de le toucher, c’est curieux, cet effet qu’il me fait ! il est tout en enluminures, ce dont je raffole. Je l’ouvre : il s’agit d’un roman jeunesse, richement illustré, aux dessins fins avec un travail de tracé magnifique, et de temps à autre, un peu de rouge, pas d’autre couleur. Ces illustrations s’accompagnent de légendes très comiques. Un des personnages, Monsieur Munroe, ressemble au cousin Machin de la famille Adam’s, ce qui me plaît énormément.
Je commence à lire ce petit bijou : une situation initiale, présentation du personnage d’Apolline, une petite fille très originale qui vit dans un appartement avec Mr Munroe et qui veille sur les collections d’objets insolites dignes du catalogue d’objets introuvable de Carelman apportées par ses parents toujours en voyage. Les illustrations sont copieusement légendées avec beaucoup d’humour. 
Apolline mène une enquête (un chien a disparu) et note tous les détails dans un carnet : ce carnet regorge de tous les indices trouvés ça et là par la petite fille, avec des détails hilarants (coupure de joutnaux, dessins... 
L’histoire en elle-même n’a rien d’extraordinaire, l’avantage, c’est qu’elle permet à des enfants n’aimant pas lire et/ou ayant un niveau de lecture faible, de lire malgré tout en prenant beaucoup de plaisir. Pas de longueurs ennuyeuses, des tas de petites « choses » à remarquer un peu partout.
Je m’attaquerai prochainement aux autres volumes !

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