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dimanche 22 décembre 2024


Sueurs froides












Boileau-Narcejac

Ed Folio, 14/05/1999, 192 pages


En commençant cette lecture, je n’avais absolument pas fait le lien avec le film d’Hitchcock : Vertigo, au titre français identique au roman de Boileau-Narcejac. Il faudra que je revoie le film !

Dans le présent roman, on fait connaissance De Gévigne, époux inquiet de Madeleine qui montre un comportement étrange, s’absente, semble atteinte de mélancolie, qui se fige face au portrait de sa grand-mère, morte noyée. Il fait appel à Flavière, avocat chargé de la suivre et de l’observer. Commencera alors une relation entre l’avocat et Madeleine.

Le roman, bien qu’il soit très court, m’a paru ennuyeux, avec un peu d’action au début, puis des longueurs et des répétitions de scènes qui frisaient le harcèlement de la jeune femme. La fin plutôt confuse, est difficile à concevoir. On est pourtant en présent d’un suspense typique du grand cinéaste. Je pense que je reverrai le film qui passera mieux que le roman et auquel le titre de « sueurs froides » convient mieux.

J'ai tout de même apprécié le lourd mystère qui poursuit le personnage de Flavière et du lecteur, cette ambiguïté d'une femme que l'on tente de comprendre sans y parvenir.

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