L'enfant allemand
Camilla Lackberg
Ed Actes Sud, livre de poche
Une médaille ornée d’une
croix gammée, une chemise de bébé ensanglantée, une série de carnets
constituant le journal intime d’une mère qui, pour Erica, est restée une
inconnue jusque dans la tombe.
Ce sont les éléments sur
lesquels repose ce roman de Camilla Lackberg, roman Passionnant parce que l’on
y retrouve des personnages maintenant familiers : Erica Falck, Patrick
Hedström, ses collègues et leur petite vie avec ses moments difficiles et
tensions d’ordre professionnel ou conjugal, instants parfois cocasses si on
pense à ce chien que Melberg se voit invité à recueillir et qu’il nommera
Ernst, policier de son état et persona non grata qui apparemment n’est
plus là ( j’ai zappé quelques volumes) et que personne ne regrette. Et
l’on assistera aux déambulations du policier et de ce compagnon et à
l’évolution de sa vie privée. On y retrouvera un Patrick “nounou” qui est sensé
être en congé de paternité et qui ne peut s’empêcher de retrouver le
contact avec ses collègues, voire avec le travail d’enquête qui s’opère à Fjällbacka.
L’intrigue est des plus
prenantes : que de mystères, que de complots qui semblent être le fait de
personnages qui ont grandi ensemble et dont les actions présentes prennent leur
source dans le passé, dans un contexte de seconde guerre mondiale, personnages
aux comportements qui amène le lecteur à se poser des questions tout au long du
roman. C’est ce qui fait d’ailleurs le charme des romans de cette auteure.
Cela faisait bien
longtemps que j’avais savouré un de ses titres et je suis heureuse de m’y
plonger à nouveau. Comme à mon habitude, je n’ai pas été dans l’ordre et j’ai
sauté quelques volumes, mais cela ne m’a pas empêché de me délecter de cette
lecture après avoir redécouvert les liens entre les personnages et leur
situation professionnelle ou familiale.
Le démarrage peut paraître
difficile dans les romans de Camilla Lackberg, parce qu’il faut établir des
connections entre les personnages du passé et leur situation dans le présent,
mais une fois ces connections établies, le récit se boit comme du petit lait,
et suspense oblige, en quête de vérité, on finit par ne plus lâcher
le livre. Encore un polar terminé à une heure du mat !
Camilla Lackberg
Ed Actes Sud, livre de poche
Une médaille ornée d’une
croix gammée, une chemise de bébé ensanglantée, une série de carnets
constituant le journal intime d’une mère qui, pour Erica, est restée une
inconnue jusque dans la tombe.
Ce sont les éléments sur
lesquels repose ce roman de Camilla Lackberg, roman Passionnant parce que l’on
y retrouve des personnages maintenant familiers : Erica Falck, Patrick
Hedström, ses collègues et leur petite vie avec ses moments difficiles et
tensions d’ordre professionnel ou conjugal, instants parfois cocasses si on
pense à ce chien que Melberg se voit invité à recueillir et qu’il nommera
Ernst, policier de son état et persona non grata qui apparemment n’est
plus là ( j’ai zappé quelques volumes) et que personne ne regrette. Et
l’on assistera aux déambulations du policier et de ce compagnon et à
l’évolution de sa vie privée. On y retrouvera un Patrick “nounou” qui est sensé
être en congé de paternité et qui ne peut s’empêcher de retrouver le
contact avec ses collègues, voire avec le travail d’enquête qui s’opère à Fjällbacka.
L’intrigue est des plus
prenantes : que de mystères, que de complots qui semblent être le fait de
personnages qui ont grandi ensemble et dont les actions présentes prennent leur
source dans le passé, dans un contexte de seconde guerre mondiale, personnages
aux comportements qui amène le lecteur à se poser des questions tout au long du
roman. C’est ce qui fait d’ailleurs le charme des romans de cette auteure.
Cela faisait bien
longtemps que j’avais savouré un de ses titres et je suis heureuse de m’y
plonger à nouveau. Comme à mon habitude, je n’ai pas été dans l’ordre et j’ai
sauté quelques volumes, mais cela ne m’a pas empêché de me délecter de cette
lecture après avoir redécouvert les liens entre les personnages et leur
situation professionnelle ou familiale.
Le démarrage peut paraître
difficile dans les romans de Camilla Lackberg, parce qu’il faut établir des
connections entre les personnages du passé et leur situation dans le présent,
mais une fois ces connections établies, le récit se boit comme du petit lait,
et suspense oblige, en quête de vérité, on finit par ne plus lâcher
le livre. Encore un polar terminé à une heure du mat !
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