Alan Bennett
Si certains passages m’ont fait sourire, je ne peux pas
affirmer que je me sois « éclatée » à la lecture de ces deux récits. Le premier
racontant l’histoire de Madame Donaldson, veuve quinquagénaire, employée pour jouer le rôle de malade à l’université et mimer les
symptômes des maladies que les étudiants analysent, et qui se voit proposer d’assister aux ébats
de ses deux locataires, le deuxième
relatant les aventures de la famille Forbes dont le fils, croyant cacher ses
tendances gays à sa mère possessive , se marie avec une riche héritière.
Humour anglais certes, ce qui m’a donné envie de cette
lecture, avec un soupçon d’humour noir
dans le premier récit, et grosse farce dans le deuxième, car chaque personnage
pense avoir des secrets pour les autres,
ce n’est pas forcément le cas.
La première histoire est plutôt confuse, on se demande qui
sont les personnages cités, on ne comprend
pas toujours qui parle, ce qui oblige à des retours en arrière dans la
lecture.
J’ai accroché durant la première moitié de chaque histoire,
puis je me suis surprise à lire en diagonale car j’ai trouvé que ces récits
devenaient ennuyeux et que l’humour y était plutôt dilué.
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