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lundi 20 juin 2022

 Après












Stephen King

Ed Albin Michel, 3/11/2021, 336 pages




J’ai lu des roman du grand Stephen King bien plus passionnants et addictifs. Alors que je me réjouissais d’une bonne petite lecture de préférence nocturne pour me faire peur juste comme j’aime... pensez donc : une histoire d’enfant capable de voir les défunts et de converser avec ... J’étais déjà aux portes de l’au-delà... Mais je crois que je suis restée sur le paillasson, adieu donc, morts inquiétants, entités glauques et autres mystères ... Notre héros se contente de voir les morts qui ne peuvent pas lui mentir, qui s’effacent au fil des jours, et qui se présentent comme ils étaient quand ils sont passés de vie à trépas, de préférence bien amochés pour donner une impression d’horreur au lecteur.

Les personnages ? Une mère poule qui connaît le secret de son fils, sa compagne, Liz, policière pas clean et sans scrupule, qui essaiera par deux fois d’exploiter le don du jeune Jamie... et puis c’est à peu près tout... bien superficiel tout ça.

Au cas où le lecteur n’aurait pas compris, il assure et répète au long du roman qu’il s’agit d’une histoire d’épouvante. J’ai ressenti plus d’agacement que d’épouvante en progressant dans ce récit sans grand intérêt. J’espère que King se montrera plus grandiose la prochaine fois.

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